29/12/2014 film "le Hobbit" avorté, purikura et Pavillon d'or

6 mars 2015

29/12/2014 film "le Hobbit" avorté, purikura et Pavillon d'or

Après la quotidenne "douche-déjeunner-onestenretard-vélo-centre-ville" on arrive vers un des complexes cinématographique de la ville.

Alors oui à la base, ce matin là nous devions aller voir Pauline, Brett et moi-même le fameux film "le hobbit, la bataille des 5 armées" en japonais sous-titré anglais (ou inversement) pour que je puisse comprendre quelque chose.
j'ai pu constater que l'agencement des cinémas au japon est mille fois mieux qu'en France :

- quand on paye les places, on choisit à la caisse nos sièges ! la vendeuse nous montre alors un écran nous permettant de voir les sièges disponibles et leurs emplacements face à l'écran. Une fois les 3 sièges choisis elle nous imprime les billets avec les numéros dessus (un nombre et une lettre) j'imagine alors sans peine le gain de temps que cela engendre et surtout cela évite de trop déranger les autres spectateurs

- Dans la salle, chaque "ligne" de sièges correspond à une lettre indiquée en bas à chaque bords et chaque siège a un numéro, le bas des marches et de la routes à suivre étant éclairée par une lueur bleu!

très pratique tout ça! Brett avait commandé des pop cornes et emporté des espèces de petits poids sortit de son congèle. les pop cornes sont bien sûr servi dans un receptable en carton mais le tout est donné avec un récipient en plastique noir avec un emplacement pour le globele et surtout une poignée pour le fixer au porte-gobelet du siège!

Afin d'éviter les fraudes ou les éventuelles erreurs de salles, un autre agent attend à l'entrée des portes pour vérifier les tickets (ah quelle bonne idée ce serait de le faire en France!)

Problème une fois le film commencé on se rend compte que c'est en japonais non sous titré... alors du coup on ressors, pauline et Brett expliquant qu'il était indiqué que le film serait sous-titré en anglais ou inversement et comme il s'agit effectivement d'une erreur, on nous rembourse et on sort. On rigole un peu en disant entre nous "aaaaaa so great this movie!" et je les invite à faire un purikura situé juste à côté que nous custumiserons exprès avec l'inscription "the hobbit"

Brett nous laisse et nous décidons avec Pauline de rentrer pour aller voir le Kinkaku-ji, le pavillon d'or situé prés de chez elle

le fameux pavillon d'or que je voulais absolument visiter. Le Kinkaku-ji, également connu comme le "pavillon d'or", se trouve au nord-ouest de la ville, pas très éloigné du Ryoan-ji. C'est l'un des temples bouddhistes les plus visités à Kyoto. Sa construction principale étant un pavillon recouvert de feuilles d'or.

Bâti à la fin du XIVe siècle puis brûlé à de nombreuses reprises, dont la dernière fois en 1955, il fut rebâti à l'identique cette même année, puis rénové en 1987. En 1994, il est entré au Patrimoine Mondial de l'Humanité à l'Unesco.

Même si ce jour là et du fait aussi de la période hivernale le temps n'est pas vraiment ensoleillé, la vue du temple est mémorable et nous apporte l'avantage de n'être pas trop envahie de touriste. (lesquels étaient principlement asiatiques). Je m'éffondre néanmoins car ayant oublié mon cahier d'estampe des temples à la maison. Je m'en mord encore les doigts

J'ai bien sûr fait un milion de photo de ce pavillon, de plein d'angle différents. des fois qu'à 30% ce soit vraiment différent que 32%

Cela dit voir le temple au printemps ou en été par un beau soleil doit être encore mieux puisqu'on dit alors que le lac fait effet de miroir et qu'on voit alors le reflet du temple avec une précision déroutante. Pas loin du pavillon on apperçoit une sorte de petit autel avec de l'encens. Aprs avoir observé les touristes asiatiques on comprend qu'il faut alors se placer en direction de la fumée et l'attirer à nous en agitant les mains, sans doute pour nous attirer les bienfaits de l'encens et une protection particulière. Ce que nous faisons tour à tour Pauline et moi.

Après nous rejouons encore au lancé de pièce et on peut dire qu'on s'améliore. Je prend des tonnes de photos du pavillon, des gros poissons dans le lac (mais pas de carpe koi malheureusement), et de la végétation autour.
Le trajet depuis la maison de pauline étant presque rectiligne, elle rentre en premier et me laisse un peu flâner dans les rues adjacentes (non sans avoir écris son adresse, son mail et son téléphone dans un de mes carnets au cas où)