30/12/2014 visionnage du film le Hobbit, dernier Purikura et soirée ramen chez Jaymin

Comme hier notre film a été avorté puisque n'était pas sous titré en anglais, on ne s'avoue pas vaincu et on retourne au cinéma, en ayant bien vérifié cette fois que le film était sous titré.
Brett rachète des pop-cornes et rempli le récipient noir de ses petits pois ou sortes de fèves congelés (très bon et ça me donne une bonne idée d'apéro!) mais avec mon efficacité légendaire et sans savoir comment, je fais tomber le récipient de son support fixé au siège... on ramasse tout ben consciencieusement.

Après ça, Brett ayant encore du boulot à faire il nous laisse en nous disant à ce soir, puisque nous avions la soirée chez Jaymin de prévu et comme j'avais repéré un autre purikura je propose à Pauline d'en faire un dernier avant de rentrer manger

Après ça nous devions encore rentrer pour manger, acheter de quoi cuisiner et des ingrédients dont Jaymin avat besoin, le collègue et ami de Pauline qui nous avait invité chez lui le soir avec d'autres amis pour tester la machine à nouille (ramen je crois) qu'il avait gagné par la boite.

La veille Pauline avait effectivement tenté de cuisiné des baggels.  ils étaients vraiment bien fait je dois dire. malheureusement elle avait dormi trop longtemps durant la cuisson et du coup ils étaient trop cuits. Elle allait les jeter avant que je propose qu'on les sauve en essayant de faire des "baggels perdu" à la manière du pain perdu.

il nous restait du lait, des oeufs et du sucre, a donc à tour de role trempé les baggels et une fois un peu imbibés et sautés dans du beurre on les a mangé en guise de repas de midi (bon pas tout parce qu'elle en avait fait une sacré fournée, le reste a été gardé au frigo)

On proffite de l'aprem relativement "relax" comparé aux autres jours pour prendre un bain dans sa salle de bain à la japonaise puis on part le soir retrouver Jaymin. arrivées je constate avec bonheur qu'il posède un kotatsu! ces tables basses japonaises pourvue d'une couverture chauffante, le bonheur